Venez admirer et découvrir le banc du Bûcheron
Il s’agit d’une langue de sable d’environ 4,5 km quand la marée est à son plus bas niveau. Cette dernière fait alors presque le lien entre la plage de Trousse-Chemise, d’où elle commence, jusqu’à la presqu’île de Loix, mais sans jamais totalement relier les deux.
Accueillant souvent des visiteurs de passage ou des plaisanciers avec leurs embarcations, il est possible d’y pêcher à pied ou d’y pique-niquer le temps d’une pause comprise entre 1h30 avant la marée basse et 1h30 avant la marée haute. Cela fait donc environ trois heures pour pouvoir profiter de ce territoire rétais exceptionnel.
Si le terme de « banc » est relativement simple à comprendre, on pourrait s’interroger sur celui de « Bûcheron ». Le terme provient du mot « bec », qui n’est ici pas lié à l’oiseau, mais à une pointe sablonneuse s’avançant sur la mer, selon le vocable rétais. Sur d’anciennes cartes, on utilisait aussi le nom « Becheron » qui fut employé pour qualifier ici cette langue de sable et qui devint « Bûcheron ».
Ce banc s’est formé au fil du temps en grande partie à cause des vents et des courants charriant le sable de la Conche des Baleines, de l’autre côté, à Saint-Clément.Ce fameux phénomène alimentant continuellement le banc du Bûcheron n'est pas sensé s'arrêter avant très longtemps. Aussi, il n’est pas exclu qu’un jour, ce dernier soit si grand et haut qu’il bouche définitivement le Fier d’Ars. Déjà, en 1860, aux Portes-en-Ré, on s’inquiétait que ça puisse arriver !
Accueillant souvent des visiteurs de passage ou des plaisanciers avec leurs embarcations, il est possible d’y pêcher à pied ou d’y pique-niquer le temps d’une pause comprise entre 1h30 avant la marée basse et 1h30 avant la marée haute. Cela fait donc environ trois heures pour pouvoir profiter de ce territoire rétais exceptionnel.
Si le terme de « banc » est relativement simple à comprendre, on pourrait s’interroger sur celui de « Bûcheron ». Le terme provient du mot « bec », qui n’est ici pas lié à l’oiseau, mais à une pointe sablonneuse s’avançant sur la mer, selon le vocable rétais. Sur d’anciennes cartes, on utilisait aussi le nom « Becheron » qui fut employé pour qualifier ici cette langue de sable et qui devint « Bûcheron ».
Ce banc s’est formé au fil du temps en grande partie à cause des vents et des courants charriant le sable de la Conche des Baleines, de l’autre côté, à Saint-Clément.Ce fameux phénomène alimentant continuellement le banc du Bûcheron n'est pas sensé s'arrêter avant très longtemps. Aussi, il n’est pas exclu qu’un jour, ce dernier soit si grand et haut qu’il bouche définitivement le Fier d’Ars. Déjà, en 1860, aux Portes-en-Ré, on s’inquiétait que ça puisse arriver !



