Découvrez l'ancre du Cristina Rueda
En février 1925, le cargo espagnol Cristina Rueda quitte Paimboeuf malgré les avis de tempête, espérant arriver à temps pour le carnaval.
Lors de la traversée, il est dévié de sa route et, dans la nuit du 23 au 24 février, une tempête arrache le gouvernail, faisant échouer le navire près de l'île de Ré. Deux baleinières sont mises à l'eau, mais l'une est emportée par une vague, et la seconde ne permet à qu'un seul marin de rejoindre la plage. Ce dernier, partiellement dénudé, reçoit l'aide d'une habitante après que celle-ci ait compris la situation grâce à la corne de brume. Pendant trois jours, les habitants de l'île et des sauveteurs de La Rochelle tentent de sauver les marins, mais un canot chavire, entraînant la noyade de plusieurs sauveteurs. Le naufrage fait 15 morts parmi les marins et 4 parmi les sauveteurs. Un hommage leur sera rendu à la Chambre des députés.
Dans les années 1980, l’ancre du navire est redécouverte par un pêcheur boitais qui va la faire ramener et installer sur l'île.
Lors de la traversée, il est dévié de sa route et, dans la nuit du 23 au 24 février, une tempête arrache le gouvernail, faisant échouer le navire près de l'île de Ré. Deux baleinières sont mises à l'eau, mais l'une est emportée par une vague, et la seconde ne permet à qu'un seul marin de rejoindre la plage. Ce dernier, partiellement dénudé, reçoit l'aide d'une habitante après que celle-ci ait compris la situation grâce à la corne de brume. Pendant trois jours, les habitants de l'île et des sauveteurs de La Rochelle tentent de sauver les marins, mais un canot chavire, entraînant la noyade de plusieurs sauveteurs. Le naufrage fait 15 morts parmi les marins et 4 parmi les sauveteurs. Un hommage leur sera rendu à la Chambre des députés.
Dans les années 1980, l’ancre du navire est redécouverte par un pêcheur boitais qui va la faire ramener et installer sur l'île.